Admettez-le : vous vous sentez coincé dans votre vie.

Vos amis et collègues progressent dans leurs activités, leurs relations affectives et leur vie professionnelle. Quant à vous, vous avez des sueurs froides en vous demandant ce qu’il va advenir de votre vie.

Vous avez des rêves mais vous ne savez pas comment les réaliser. Vous avez essayé tant de choses, mais cela n’a pas fonctionné. La vie n'est vraiment pas facile.

Alors que vous épongez la sueur de votre front, une autre pensée surgit et vous fait froid dans le dos.

« Ma vie aura-t-elle un sens ? »

Dans un monde en proie à des problèmes de récession mondiale, comment pouvez-vous espérer avoir une vie professionnelle épanouie ? Peut-être que les choses iraient mieux si vous étiez né à une autre époque...

Comment mener une bataille pour survivre contre le monde entier ?

Est-ce tout ce qu'il y a dans la vie ?

Peut-être Dieu a-t-il une liste restrictive de personnes auxquelles il accorde la chance et que vous n’en faites pas partie.

 

Notre plus grand piège mental

Un jeune éléphant de cirque était enchaîné à un poteau. Malgré toutes ses tentatives pour se libérer, les chaînes ne cassaient pas.

Au fil des années, devenu adulte, il est resté captif des mêmes chaînes. Pourtant, compte tenu de sa puissance, les chaînes n’auraient jamais pu lui résister.

Mais il a cessé d'essayer.

Son esprit supposait que la chaîne était toujours plus forte que lui, alors qu’il lui aurait suffi d'un seul coup pour se libérer. Mais à moins qu'il n’eut été prêt à remettre en cause son hypothèse de base, il n’en était pas capable.

Notre esprit fait des suppositions pour combler des lacunes d'informations. Il fait des suppositions sur des informations inconnues pour tirer des conclusions trop souvent erronées.

Nos suppositions peuvent être fausses, de même que nos prédictions. Et lorsque les hypothèses concernent notre accomplissement dans la vie, il est essentiel de s’assurer à 1 000% que ce ne sont pas de fausses hypothèses.

« Les hypothèses sont les lentilles à travers lesquelles nous voyons le monde. »

Voici une liste d’hypothèses erronées basées sur la logique de l'éléphant.

 

1) La vie est toujours injuste envers moi

Paul, trois ans, se dispute avec son père. Son ami de quartier, Jacques, vient de recevoir un jeu vidéo. Paul estime que c’est injuste et demande à son père de lui acheter le même jouet.

Le père de Paul est intelligent. Il sait que son fils a plus intérêt à jouer dans le parc que de se planter devant un écran de jeux vidéo pendant des heures.

Nous nous comportons souvent comme Paul. Nous pensons que d’autres sont privilégiés et profitent des bonnes choses pendant que nous luttons. Mais sous cette pensée commune se cache une idée fausse.

La raison pour laquelle Paul n’a pas eu de jeu vidéo est que son père avait de meilleures idées pour lui. Toutefois, Paul ne le comprendra pas, à moins de changer sa façon de penser. S'il pense du point de vue de son désir limité, il continuera à se sentir victime d’une injustice.

Lorsque vous estimez que la vie est injuste, vous vous limitez. Tout ce qui compte alors pour vous, c'est d'avoir ce que quelqu'un d'autre a.

Mais si vous parvenez simplement à prendre du recul et à réaliser que la vie est une image immense et que votre point de vue n’est qu’une petite partie de cette image, vous rendrez possible une multitude d’autres possibilités.

Il n'est pas forcément nécessaire d'avoir les mêmes choses et expériences que les autres.

Une autre façon d’envisager les choses est de prendre conscience de ce que vous avez et que d'autres n'ont pas la chance d'avoir.

Si le monde comptait 100 personnes, seulement 22 auraient des ordinateurs.

Vous êtes l’une d’elles.

Lorsque vous pensez que la vie est injuste avec vous, rassurez-vous : la vie est « injuste » avec tous ceux qui perdent le contact avec leur réalité personnelle.

 

2) La vie est trop dure pour moi

Dans le film « Endiablé », le héros, champion de l’échec, tombe amoureux d’une fille extraordinaire.

Le diable apparaît et promet de l'aider en lui offrant sept vœux, en échange de son âme. Le héros est heureux. En utilisant les vœux, il pense pouvoir avoir l’avenir qu’il souhaite et qu’il mérite.

Pourtant, chaque souhait se transforme en catastrophe.

Lorsqu'il souhaite être riche, puissant et marié à sa collègue de travail dont il est amoureux depuis longtemps, il devient un baron de la drogue dont la femme le trompe.

Souhaiter ne fonctionne pas. Nous pensons qu'avoir tout immédiatement, comme par magie, nous rendra heureux pour toujours.

Mais ce n’est pas tant le succès qui compte, que la personne que vous devenez dans le processus qui vous y mène. Les challenges sont importants dans la vie.

La vie est perçue comme dure du fait de deux éléments :

Les challenges

Nos luttes sont conçues pour nous aider à devenir une meilleure version de nous-mêmes. Elles nous incitent à sortir de notre zone de confort pour atteindre nos objectifs.

Jouer à Mario Bros. ne serait pas amusant s'il n'avait pas à sauter et à écraser tous ces adversaires pour sauver la princesse.

Sans défi, Mario aurait simplement à courir de gauche à droite et la princesse serait sauvée.

De plus, dans la mesure où l’on sait que la vie ne nous soumet pas à des épreuves supérieures à nos capacités de les surmonter, rencontrer de dures épreuves signifie que la vie nous considère suffisamment fort pour les surmonter. Les épreuves sont donc les compliments que nous adresse la vie.

Les mauvais choix

« Mon travail ne me laisse pas de temps pour ma famille. Je fais continuellement des heures supplémentaires et je ne peux pas prendre de vacances quand j’en ai besoin. La vie est vraiment dure ».

Devinez qui a accepté d'ignorer la valeur Liberté et de se transformer en esclave en signant un contrat pour vendre la majeure partie de son temps ?

Vous avez donné votre temps, votre liberté de choix en échange d’un salaire à la fin du mois. Est-ce vraiment une surprise de ne pas être satisfait de ce que vous obtenez ? (ce choix n’est évidemment mauvais que si le salaire est la seule contrepartie positive à votre travail et que votre activité professionnelle ne vous épanouit pas, car, dans le cas contraire, vous ne vous faites pas ce type de réflexions…)

Pauvre de vous. Vous n’avez même pas pu bénéficier de sept souhaits en échange de votre âme.

Ce n’est pas le seul exemple d’un mauvais choix, mais il décrit assez bien la situation.

Les mauvais choix rendent la vie inutilement difficile.

Tout avoir immédiatement n’est pas l’objectif. Vouloir devenir une personne meilleure est ce qui importe vraiment.

 

3) Je ne peux pas faire confiance en l'avenir

Ne pas savoir comment va se dérouler la vie peut être un sujet d’angoisse. Il n'y a aucun moyen de savoir ce qui va arriver. Des tragédies comme des maladies graves, la mort par accident, des échecs de carrière, etc. peuvent vous faire penser que vous ne pouvez vous appuyer sur rien dans la vie.

Ce n’est pas tout à fait exact.

Certes, vous ne pouvez pas tout prédire dans la vie. Certes, vous n’exercez aucun contrôle absolu sur les événements de la vie.

Mais cela ne signifie pas que vous ne pouvez avoir confiance en la vie. Il existe des moyens de construire une base solide pour votre vie.

La vie est étonnamment cohérente sous ses airs aléatoires.

La question est donc de savoir à quoi vous pouvez vous fier. Quelles devraient être vos fondations de vie ?

Les valeurs de vie.

Les valeurs de vie sont les connexions qui nous relient à la vie. Elles peuvent servir de base à tout ce que nous faisons dans la vie, et c’est la seule chose dont nous ayons le plein contrôle.

Vous voulez être riche, avoir du temps libre et faire ce que vous aimez ? Vos valeurs pourront être l'abondance, la liberté et la créativité.

Tout ne va pas dans la vie comme vous le souhaitez. Mais si vous animez consciemment vos actions par vos valeurs de vie, vous atteindrez vos objectifs à long terme.

La vie est pleine d'événements aléatoires menant à ce que vous choisissez de créer. La définition, l’organisation et la pratique de vos valeurs de vie est une démarche essentielle sur laquelle vous pouvez être accompagné. Cela changera clairement votre vie.

 

4) La vie est trop compliquée

La vie semble compliquée en raison de ses apparences aléatoires. Lorsque vous vous trouvez devant autant de résultats possibles différents, vous supposez que la vie est complexe. Mais là encore, l’hypothèse de départ cache une vérité sous-jacente.

La vie n'est pas complexe. C'est un ensemble de possibilités inconnues.

Ce sont deux choses différentes.

Un joueur débutant peut trouver le jeu d’échecs complexe. Il y a tellement de règles à retenir que définir une stratégie semble difficile. Quand quelque chose est complexe, c’est difficile à utiliser.

Un joueur de poker professionnel accepte qu'il ne sache pas quelles cartes lui sont distribuées. Face à l’inconnu, nous apprenons à nous attendre à un large éventail de résultats possibles.

Quelle que soit la puissance supérieure qui a construit cet univers, peut-être que notre cerveau humain n'est simplement pas assez intelligent pour en concevoir la globalité. Mais le fait que nous ne sachions pas tout sur la vie et l’univers n’implique pas que la vie soit complexe.

Cela signifie que nous devons nous préparer à un large éventail de résultats possibles, tout comme le joueur de poker qui essaie de faire de son mieux avec les cartes qui lui sont distribuées.

Mais est-ce que cela importe que nous pensions que la vie est complexe ou pleine d’inconnu ?

En fait, oui, car croire que la vie est complexe est une pensée auto-limitante. Vous vous attendez à des ennuis et des difficultés partout où vous allez.

Alors que croire que la vie est un ensemble de possibilités inconnues vous ouvre à de nombreux choix qui mènent à ce que vous voulez. Ce n’est pas une pensée limitante.

Soyez ouvert à l'incertitude de la vie.

Afin de tirer parti de l’incertitude, vous devez définir les valeurs de vie majeures pour vous. Elles vous aident à faire des choix personnels pertinent, à choisir parmi différentes options selon des critères qui vous correspondent.

Ça n’est pas compliqué. C’est juste inconnu pour le moment. Mais, si vous le voulez, ce n’est que provisoire.

 

5) C'est la pire période pour vivre

Et si je vous disais que nous vivons à l'époque la plus pacifique et la plus civilisée de l'histoire humaine ?

Prenez un moment et laissez-vous convaincre.

Je peux presque vous entendre objecter avec de solides contre-arguments : qu'en est-il des armes nucléaires, de la cruauté envers les animaux, de la discrimination raciale, du réchauffement climatique, du terrorisme et d'innombrables autres problèmes ? Je dois sûrement me tromper.

Eh bien, je ne le pense pas. Et voici pourquoi.

Vous savez que nos livres d'histoire sont remplis de récits d’atrocités, d'exécutions publiques, de meurtres pour l'honneur, de batailles qui n’ont aucun sens, etc.

Si le bon gars perd la bataille contre le méchant, que va-t-il être écrit dans les livres d'histoire ?

« C'était un grand homme, mais je l'ai tué pour avoir sa femme. Je ne suis pas une bonne personne » ?

Évidemment pas. Les gagnants écrivent l'histoire pour qu’on pense du bien d’eux et non pour valoriser les personnes qu'ils ont massacrées.

Vous ne pouvez donc pas trop vous fier aux données historiques, car cela dépend en grande partie de l'auteur des récits.

Les rois du passé se sont battus pour des conquêtes et des richesses illusoires, tuant d'innombrables personnes.

Parce que nous ne sommes témoins « directs » que des problèmes mondiaux actuels, nous pensons que ce sont les moments les plus troublés de notre histoire.

Mais nous vivons à une époque où les problèmes sociaux sont réglés principalement par des débats politiques et non par des armées sur le champ de bataille.

Nous traversons les déserts en prenant l’avion et non à pied. J'écris cet article et vous pourriez le lire de l'autre bout du monde.

Vous pensez toujours que ces temps sont les pires ?

Certes, nous avons encore des problèmes à résoudre. Il n'y a jamais eu de moment parfait. Mais les temps actuels sont les meilleurs que l’histoire humaine ait connu.

Pour chaque raison de se sentir malchanceux, il y en a mille de se sentir chanceux.

 

6) Je suis un être isolé, déconnecté du monde

Avez-vous déjà pensé à la vie comme une bataille dans laquelle c’est vous contre le monde entier ?

Eh bien, détrompez-vous, parce que ce que ce qui suit pourrait vous étonner.

Tout, dans ce monde, est connecté à vous.

Si vous avez étudié les sciences à l’école, vous devez déjà avoir une idée de base de la façon dont toutes les choses sont composées : des mêmes molécules.

Pour les personnes qui n’ont pas étudié les sciences, voici une présentation simplifiée à l’extrême.

Toute la matière (tout ce que vous voyez autour de vous) est composée des mêmes blocs de construction de base. Si vous décomposez les pierres, l'eau, votre peau ou tout autre matériau en parties de plus en plus petites, celles-ci finissent par se composer des mêmes éléments de base.

La matière peut être de différents types (eau, oxygène, or, etc.) et états (solide, liquide et gazeux), mais toutes choses sont identiques. Vous n'êtes pas différent des étoiles dans le ciel. Ultimement, tout n’est qu’énergie.

En fait, l'univers entier est une danse bi-directionnelle de matière et d'énergie. L'énergie se condensant en matière et la matière reconvertie en énergie.

Cela peut sembler scientifique et geek (ou simplement débile…), mais c’est aussi une porte ouverte sur une réalité qui n’est pas évidente dans notre vie quotidienne. Cela implique que, puisque tout est constitué des mêmes éléments de base, nous sommes tous connectés les uns aux autres.

Comme une goutte d’eau dans l'océan n’est, en fait, pas une goutte d’eau, mais l’océan lui-même.

Qu'est-ce que cela signifie ?

Cela signifie que vous pouvez cesser de penser à vous-même en tant qu'individu ayant peu de relations, de liens avec votre environnement, et luttant pour survivre dans un monde étranger. Vous n'avez plus à vous battre contre votre environnement pour réussir votre vie, mais simplement à en tirer parti.

Toute chose est en vous. Accepter cette unité apporte un profond respect pour la vie et vous permet de l’utiliser efficacement pour votre bonheur et celui de tous.

Vous pouvez maintenant comprendre pourquoi aider d’autres personnes vous fait vous sentir si bien. Parce qu'en aidant les autres, vous vous aidez vous-même. L’égoïsme intelligent, c’est l’altruisme.

Vous êtes le tout, pour peu que vous l’acceptiez.

Vous êtes l'univers et l'univers c'est vous.

Tenez-vous tête haute.

 

 

Oui. Se sentir coincé dans la vie, c'est nul.

Les idées fausses vous ont retenu jusqu'à présent. Mais plus maintenant.

Alors engagez-vous.

Engagez-vous à abandonner ces idées limitantes.

Engagez-vous à accepter consciemment vos rêves et à relever les défis avec une nouvelle conscience.

Engagez-vous à briser les chaînes qui vous retiennent prisonnier depuis longtemps.

Maintenant vous êtes libre.

La vie n'est plus un camp de la mort, c’est une profusion de trésors cachés. Elle promet une richesse phénoménale aux plus courageux qui sont prêts à se débarrasser de leurs peurs et à pénétrer dans l'inconnu.

Imaginez que votre nom figure sur la liste des chanceux. En fait, tout le monde y est inscrit.

Comme un marin aguerri, éloignez votre navire du port. Vous savez que la mer ne vous fera pas de cadeau. Vous devrez probablement combattre les pires tempêtes imaginables. Mais vous êtes prêt. Et toutes les difficultés déboucheront sur l'aventure et le bonheur que vous recherchez.

En fin de compte, tout cela en aura valu la peine.

 

 

 

Tout le monde n’est pas coachable, pas capable d’avoir accès au coaching de vie. Si vous ne croyez pas que vous pouvez apprendre et grandir par le coaching de vie, vous perdez votre temps et votre argent.

 

Il est, certes, important de choisir le bon coach lorsque vous songez au coaching de vie, mais il est tout aussi important de déterminer si vous êtes vraiment coachable. Sinon, vous allez seulement gaspiller des ressources pour rien. Vous devez croire que le processus peut vous aider et vous devez être prêt à lui consacrer du temps et des efforts.

 

Vous devez être capable d'apprendre à regarder en vous et à être honnête avec vous-même et votre coach. N’essayez pas de « bypasser » le coach et de vous coacher vous-même. Ça ne marchera pas.

 

Vous avez évidemment ressenti le besoin d’avoir recours à un coach à un moment donné pour une raison quelconque. Laissez-le faire ce pour quoi vous le consultez. Il a l'expérience, le point de vue extérieur et les outils pour vous aider et c'est pour ces raisons que vous le voyez. Travaillez avec le coach plutôt que contre lui et le coaching peut changer votre vie durablement.

 

Il est certain que, lorsque vous rencontrez un coach de vie pour la première fois, vous devez vous sentir bien en sa compagnie, en confiance, et que, si ça n’est pas le cas, il vaut mieux en chercher un autre. Un coach, si bon soit-il, n’est pas universel et sa personnalité, comme sa façon de travailler peut ne pas vous convenir. C’est évident.

 

Mais, au-delà de ça, il est important, lorsque l’on veut avoir recours à un coach de vie, de comprendre que l’on rencontre une personne qui a un savoir-faire que l’on ne maîtrise pas soi-même. Vouloir « évaluer » le coach et être, en fait, spectateur du premier entretien que l’on a avec lui ne mène généralement à rien.

 

Je dis cela car je rencontre certaines personnes, dont la « typologie » fréquente est celle de cadre de grands groupes, qui viennent dans un état d’esprit correspondant davantage à l’évaluation d’une prestation de fournisseur dans une relation marchande dominant/dominé (où c’est le visiteur qui se considère comme dominant), que dans celui d’une démarche personnelle de besoin d’évolution par rapport aux problèmes qu’elles rencontrent.

 

Il n’y a pas d’investissement personnel dans la rencontre avec le coach de vie. C’est un peu comme si elles voulaient une prestation purement technique dont elles pourraient comprendre intellectuellement tous les tenants et aboutissants avec leur niveau de conscience du moment. Genre : une recette miracle à laquelle elles n’auraient simplement pas encore pensé.

 

Pourtant, si recette miracle il y a (mais il n’y en a pas toujours), c’est forcément que vous ne la connaissez pas. Vous êtes intelligent et, si vous avez identifié un problème que vous voulez surmonter grâce à l’accompagnement d’un coach de vie, c’est que vous n’êtes pas parvenu à le résoudre seul. Vous avez déjà examiné le problème, vous avez certainement essayé des solutions réfléchies et intéressantes, mais sans succès.

 

Dans ces conditions, si le coach vous propose une façon de travailler qui vous parait baroque, c’est peut-être que c’est un fou furieux… ou pas…

 

Regardez son site internet, son parcours, les témoignages qui s’y rapportent, son antériorité (il y a peu de probabilités qu’il ait réussi à vivre de cette profession pendant des années s’il n’était pas compétent), éventuellement ses parutions, pour vous donner une idée du niveau de confiance que vous pouvez lui accorder a priori.

 

Si vous estimez que ce niveau de confiance est suffisant de votre côté, soyez ensuite curieux pendant le premier entretien. A la limite, et de façon un peu provocatrice, je dirais que plus sa façon de travailler vous parait inhabituelle, mieux c’est. Il y aura, au moins, une forte probabilité qu’il vous fasse sortir de votre zone de confort, ce qui est la condition nécessaire pour pouvoir évoluer.

 

Attachez-vous, pour votre part, à vous assurer que vous êtes coachable. La relation coach-coaché n'est pas à sens unique et, si vous voulez le meilleur résultat il faut vous impliquer sincèrement.

 

Je me souviens d’une personne que j’ai accompagné : une femme, dirigeante d’une PME, en « pré burnout avancé », qui voyait tout exploser autour d’elle et essayait vainement de reprendre le contrôle de situations complexes, tant personnelles que professionnelles, sans y parvenir.

 

Lorsqu’elle est venue me voir la première fois, elle n’a visiblement pas compris grand-chose à ma manière de travailler et je doutais qu’elle donne suite à sa démarche.

 

Pourtant c’est ce qu’elle a fait et, toujours sans comprendre vraiment la nature et la cohérence du travail entrepris, elle a persévéré avec humilité et application. Elle a finalement mis trois séances pour comprendre, constater les premiers résultats, et, en huit semaines, 95% de ses problèmes étaient résolus. A tel point qu’elle n’était physiquement plus la même que lors de la première rencontre, avait repris goût à la vie, à son travail, etc. Bref, le pied !

 

Vous n'êtes pas obligé de croire cette histoire (pourtant absolument vraie), comme vous n'êtes pas obligé de vouloir évoluer ou être coachable. Si je raconte cette histoire, ce n'est pas pour vous dire que je suis génial, c’est très loin d’être le cas et, en plus, cela n’intéresse personne. Le seul sens de ce post est de vous inciter à être acteur de votre vie dès que possible. Soyez curieux et ne tentez pas forcément de juger de sujets et de personnes que vous ne connaissez pas, car c’est justement cette ignorance salutaire qui vous pousse à les rencontrer et leur permet de vous aider à résoudre vos problèmes.

 

Soyez coachable ! Vous ne le regretterez pas…

 

 

L'estime de soi est un sujet par trop galvaudé.

Beaucoup pensent que ceux qui se présentent comme forts, arrogants et téméraires ont une trop forte estime de soi, alors que c'est généralement le contraire.

Plus une personne est arrogante, plus elle a de chances de ne pas s’aimer tant que ça et de tenter de compenser, dans l’espoir que les autres ne remarqueront pas ses failles.

Je ne traiterai pas de ce sujet en profondeur dans ce post, mais vous propose simplement un petit exercice de développement personnel bien connu, qu’il m’arrive encore d’employer, après toutes ces années d’activité en tant que coach de vie.

La raison pour laquelle je l’utilise, c’est parce que c’est un excellent indicateur de ce qu’une personne pense vraiment d’elle-même. Il n’exempte pas forcément d’un travail plus en profondeur, mais, même dans ce cas, il servira validement de preuve que votre travail a porté ses fruits.

Vous le connaissez peut-être, mais il mérite d'être présenté et je vous encourage vraiment à l'essayer.

 

 

Miroir, mon beau miroir…

Placez-vous devant un miroir, regardez-vous et dites simplement : « Je t'aime ».

Ne riez pas, ne soyez pas sarcastique et ne vous inquiétez pas de ce que les autres pourraient penser s’ils vous voyaient.

Si vous pouvez le faire sans problème et en supposant que vous ne restiez pas là à vous admirer pendant deux heures (auquel cas vous pourriez avoir un peu trop d'estime de soi), bravo, vous avez réussi.

Si vous rigolez parce que c’est idiot, vous souffrez probablement d’une faible estime de soi, parce que… idiot… ça ne l’est pas.

Alors recommencez.

Si vous riez de nouveau ou si vous vous sentez un peu inquiet de ce que vous considérez comme un acte de flagrante tromperie…

Recommencez.

Encore et encore.

Je me fiche du nombre de fois que vous aurez à le dire pour obtenir une réaction sans auto-dénigrement (en supposant que ce ne soit pas quelques jours, auquel cas vous souffririez de déshydratation sévère), mais recommencez jusqu’à y parvenir.

Finalement, il vous paraîtra normal d’accepter de vous aimer. Et c'est une bonne chose parce que vous avez toutes les bonnes raisons de le faire.

Peut-être savez-vous que vous pourriez faire cet exercice facilement. Si c'est le cas, tant mieux, mais essayez quand même au moins une fois pour en être sûr.

En revanche, si la seule pensée de l’exercice vous cause un vrai malaise ou même un début de panique, alors je vous incite vraiment à le faire.

Être capable de se regarder en face est le point de départ indispensable de toute démarche de développement personnel...

 

 

Je suis sûr que vous avez déjà entendu l'expression « On n'a jamais une deuxième chance de faire une première impression », n'est-ce pas ?

Eh bien, je suis ici pour vous dire que c’est une erreur totale.

A vrai dire, c’est techniquement juste : vous ne pouvez pas rencontrer quelqu'un pour la première fois plus d'une fois, mais le message qui se cache derrière est une absurdité. La logique comptable n’a souvent rien à voir avec la logique humaine.

L’importance déterminante des premières impressions est largement surestimée.

Quand j’ai rencontré la première fois cette personne, dans un contexte professionnel, elle ne m’a pas fait particulièrement bonne impression. Pourtant, elle est devenue ma femme et nous vivons ensemble depuis 25 ans.

 

Nos premières impressions sont souvent erronées

Historiquement, il y a un certain nombre de personnes avec lesquelles je suis devenu ami, mais avec lesquelles je n’ai quasiment pas discuté lors de notre première rencontre, et je suis sûr que c’est pareil pour vous.

On pourrait penser que, s’il ne s’agissait que de cette impression initiale, nous aurions beaucoup moins d’amis et je serais vraisemblablement encore célibataire, mais il est évident qu’il se passe autre chose.

Et cette autre chose, c’est la chose suivante : chaque fois que vous rencontrez quelqu'un pour la deuxième, troisième, quatrième ou nième fois, vous avez la possibilité de lui faire une toute première impression.

Vous avez une fenêtre d'opportunité d'environ 1 à 15 secondes en fonction de la situation pour tout recommencer.

Imaginez ce qui suit.

Votre patron et vous ne vous entendez pas, vous pensez qu’il est un branleur total et pendant les trois mois que vous avez travaillé ensemble, il n’a jamais eu un mot sympa à votre intention.

Puis un matin, il entre dans votre bureau et vous apporte une tasse de café avec, sur le visage, un sourire comme vous ne lui en avez jamais vu.

Il pose le café, vous dit à quel point il apprécie votre travail et vous demande s’il peut faire quelque chose pour vous rendre la vie plus facile.

La plupart d’entre nous aurions une réaction de méfiance certaine, mais espérerions également qu'un changement positif soit en cours.

Son comportement « froid » antérieur était-il dû à des problèmes à la maison ou de santé ?

Aurait-il suivi quelques séances de coaching en communication et en team building ? Ou peut-être avez-vous simplement mal jugé son comportement précédent et essayait-il juste d'être professionnel ?

Qui sait ? Et franchement, qui se soucie de le savoir s'il continue à se comporter ainsi ?

Et si le lendemain matin était pareil, et le jour suivant aussi, vous en arriveriez vite à être impatient de le voir et vous auriez tout oublié des débuts difficiles de votre relation.

Ce qui est triste, c’est que les gens exécutent rarement de tels voltefaces.

Une fois qu’ils ont établi un type de comportement, il est beaucoup plus facile de continuer à le reproduire, car il ne nécessite aucune introspection ou analyse de soi, aucune pensée consciente et aucune action d’évolution.

Mais peut-être qu’une meilleure raison pour laquelle les gens ne changent pas, c’est qu’ils croient toujours que c’est l’autre personne qui doit changer en premier.

Ils pensent généralement que si leur collègue, ami ou amant change, ils seront prêts à changer aussi.

Malheureusement, la vie ne fonctionne pas comme ça. Nous n'avons jamais que le pouvoir de nous changer nous-mêmes et de nous rappeler la citation la plus tweetée sur la planète :

« Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde » - Gandhi

Nous ne pouvons pas nous attendre à ce que le monde se plie à nos désirs, à moins de vouloir être très malheureux. Nous pouvons simplement faire ce que nous pouvons pour être la personne que nous aimerions rencontrer.

 

Comment être plus populaire

Et si vous décidiez de faire quelque chose de ce genre ?

Que chaque fois que vous rencontriez quelqu'un pour la première fois de la journée (y compris les membres de votre famille) et quel que soit votre état d'esprit, vous leur souriiez, offriez un compliment sincère (évitez l’hypocrisie) et demandiez quels projets géniaux ils ont (ou toute autre question destinée à leur permettre de se concentrer sur le positif) ?

Quel résultat pensez-vous que cela aurait ?

Je vais vous le dire : cela ferait simplement commencer chaque conversation dans la bonne direction.

Cela vous rendrait plus sympathique (pas que vous ne le soyez pas déjà, bien sûr… vous êtes tout simplement adorable !) et vous éviteriez les plaintes et gémissements qui pourraient vite dégénérer en litanie mortifère.

L’explication en est que vous aurez fait une excellente première impression et que la plupart des personnes, qui ne sont pas des imbéciles congénitaux, ont beaucoup de difficulté à ne pas répondre positivement.

Essayez de pratiquer ça pendant une semaine et engagez-vous à le faire avec chaque personne que vous rencontrez. Je vous garantis que les résultats vous émerveilleront… probablement.

 

 

Nous avons tous déjà entendu des choses comme : « sors de ta tête ». « Ne pense pas trop ». « Fais faire une pause à tes neurones ».

Dans une société où il est pratiquement impossible de cesser de penser - où travailler sans arrêt est même fortement recommandé - faire une pause dans nos pensées peut sembler un contresens, voire immoral.

Mais nous savons aussi que trop se fixer sur nos pensées conduit à accroître notre anxiété.

Pourquoi ?

Parce que nous avons tendance à être pris par nos pensées à tel point que nous perdons notre bon sens, nuisons à notre capacité d’atteindre nos objectifs et inventons des scénarios complètement irréalistes.

 

Vous pensez trop ? Pensez-y

Supposons que votre fille, une adolescente, sorte pour la première fois le soir.

Elle est peut-être assez âgée pour se déplacer couramment seule et suffisamment responsable pour occuper des jobs d’été, mais vous imaginez le pire : l'intoxication, une agression, le commissariat de police, l’hôpital…

Quand elle rentre à la maison à l’heure convenue - en sécurité, sobre et en un seul morceau - vous réalisez que vous avez perdu toute une soirée à vous torturer inutilement.

Ou disons que vous attendez une appréciation de votre patron concernant un travail. Si sa réponse tarde, vous vous persuadez que vous avez mal fait et que vous recevrez bientôt votre lettre de licenciement.

Vous passez la journée dans un état de tension intense, et tout ça pour recevoir un courrier électronique le soir même, vous remerciant de votre patience et de vos efforts.

En d’autres termes, donnez-nous une situation comportant des incertitudes et nous penserons au pire. Tel est le saboteur que constitue notre esprit.

Lorsque nous nous préoccupons de regarder les choses sous tous les angles possibles et d’anticiper le résultat plutôt que de nous engager dans le voyage, nous nous éloignons essentiellement de nous-mêmes et de notre capacité de concentration, de sagesse de décisions ou simplement de laisser la vie se dérouler comme elle l’avait prévu.

De plus, nous concentrer sur l’avenir ou revenir, en boucle, sur les erreurs que nous avons faites dans notre passé nous prive des plaisirs du présent, ce qui peut conduire à la déprime, à retarder la réalisation de nos objectifs et à une dépression durable.

« L'esprit aime s'attaquer aux problèmes et construire des bombes atomiques », écrit Eckhart Tolle dans The Power of Now. « Vous croyez que c'est votre esprit. C'est une illusion. L'instrument vous a pris en charge ». En résumé, un esprit laissé à lui-même peut créer plus de problèmes que de solutions.

 

Sortez de l’impasse

Il est toutefois possible de sortir des impasses créées par notre cerveau et de trouver du réconfort dans le moment présent.

La première étape consiste à réaliser que vos pensées ne sont que des pensées.

Certes, les idées et les émotions peuvent être rendues tangibles. En termes simples, si vous pensez à la satisfaction que vous obtenez en réalisant une tâche, les aspects du travail sous votre contrôle peuvent être accomplis de manière à produire ce sentiment - mais d'autres réflexions, en particulier celles associées avec vos opinions sur vous-même, restent uniquement dans l’espace compris entre vos deux oreilles, sans voie de sortie.

« Le début de la liberté, poursuit Tolle, est la prise de conscience que vous n'êtes pas l'entité contrôlante (le mental)… vous réalisez également que tout ce qui compte vraiment - beauté, amour, créativité, joie, paix intérieure - provient d'au-delà de l'esprit ».

Sans cette liberté par rapport aux pensées obsédantes et improductives, nous sommes enclins à la maladie, au malheur, à une créativité moindre et à une perception déformée de la réalité.

Alors, comment savoir si vos pensées sont saines et normales, ou si elles font plus de mal que de bien ?

Considérez ces questions :

Avez-vous un bourreau dans la tête ? Une voix incessante qui vous réprimande pour vos gaffes - réelles ou non - et vous fait ressentir un sentiment de culpabilité, d’insuffisance personnelle ou de stupidité ?

C'est le juge qui se cache en vous, une sous-personnalité créée probablement par les événements de votre passé et les énergies négatives de votre présent. Rappelez-vous que ce n'est pas votre essence, car le vrai vous est fondamentalement bon, gentil, indulgent et compatissant (sinon vous ne liriez pas cet article…).

Avez-vous tendance à sur-analyser un événement avant qu’il ne se produise ? Cela augmente-t-il votre sentiment de vulnérabilité ?

Tandis que votre côté protecteur (l’instinct de survie) existe pour de bonnes raisons, l'écoute outrancière de ses craintes et de leur longue liste de conséquences négatives peuvent engendrer une peur si grande que vous finissez par vous enfermer et par prendre les mauvaises décisions.

 

Préparez-vous et détendez-vous

Il est sage d’arriver à des situations stressantes en étant bien préparé, qu’il s’agisse de la préparation d’une réunion importante au travail ou de renforcer votre confiance en vous avant une conversation difficile avec un proche, mais ne laissez pas cette partie de votre esprit vous empêcher de faire la distinction entre les sujets, les petits et les grands.

Les trépidations entravent la progression.

Vous surprenez-vous parfois en train de vérifier votre téléphone de manière obsessionnelle et de planifier votre futur proche lorsque vous êtes en présence d'autres personnes ?

Ceci est lié à la tendance addictive de notre cerveau, quand « plus » ou ce qui « va arriver » semble plus palpable et souhaitable que ce à quoi nous devrions être attentif au présent.

Se séparer du présent vous empêche de profiter du moment qui vous est offert, conduit à des relations tendues et augmente quasi mécaniquement votre insatisfaction.

Craignez-vous que si un sujet ne vous inquiète pas, le pire va arriver ?

Les inquiets permanents sont tellement habitués à être enfermés dans un état de terreur constant que s'en libérer, même temporairement, leur semble incongru - comme s’il s’agissait d’une provocation à ce que le monde s’effondre.

En cas de panique, la première et la plus importante chose à faire est de revenir à sa respiration.

De petites gorgées d'air rapides - la forme de respiration qui arrive lorsque nous sommes anxieux - inhibent notre accès aux produits chimiques naturels tels que la sérotonine et l'ocytocine, qui favorisent la paix, la relaxation et le sentiment de bien-être.

Une fois que vous êtes conscient des situations qui génèrent des pensées exagérées et des raisons qui se cachent derrière, vous pouvez mettre un terme à la progression sans fin, généralement infructueuse, de vos pensées inutiles grâce à diverses techniques.

Pour certains, c’est simplement de s’éloigner de la tâche à accomplir ; pour d’autres, c’est une perspective plus large : l'événement, la personne ou le projet implique-t-il autant de choses à faire maintenant que d’ici six mois à un an ? Probablement pas, alors pourquoi perdre du temps et de l'énergie sur ce sujet maintenant ?

Certaines personnes se tournent vers l'exercice physique pour soulager leur esprit ; d'autres, la méditation ; d'autres encore s'accordent un délai pour réfléchir à une situation, documenter leurs pensées, puis avancer avec un plan bien défini.

Quelle que soit la raison pour laquelle vous choisissez de cesser de trop penser, rappelez-vous que le but est de revenir au présent, car tout ce qui a de la valeur - maintenant et plus tard - se produit lorsque nous sommes pleinement engagés dans le moment présent.

Ou, comme Tolle nous le rappelle avec pertinence, « Lorsque vous jouez la conscience du moment présent, tout ce que vous faites devient imprégné d'un sens de qualité, d'attention et d'amour ; même la plus simple action ».

Puissent toutes vos actions être abordées avec juste assez de réflexion pour que leur beauté et leur simplicité émergent.

L'un des aspects les plus importants de la PNL, et que presque toutes les techniques de « changement rapide » utilisent, est celui de l’état de rupture.

Supposons que vous naviguiez sur YouTube et que vous tombiez tout à coup sur la vidéo d’un chaton trop mignon qui joue avec une pelote de laine.

Alors que vous êtes assis à glousser, sans même vous demander pourquoi vous vous sentez si bien alors que vous n’avez rien fait de ce que vous vouliez faire, je me faufile derrière vous avec une grosse batte de base-ball en mousse.

Juste au moment où vous faites « replay » pour la 23ème fois, j’envoie la batte de toutes mes forces sur votre crâne, ce qui vous renverse de votre chaise et vous propulse sur le sol.

Et voilà ! Je viens de rompre votre état (et peut-être même votre crâne) et vous ne pensez plus au chaton, mais, « Putain ! Qui est ce taré que je n’ai jamais vu et comment est-ce qu’il est rentré chez moi ? »

Avec certains exercices tels que la technique « Swish Pattern », l’ancrage et les sous-modalités, il est crucial que vous rompiez votre état entre chaque étape et / ou tentative.

Mais il existe une autre façon d'utiliser les états de rupture dans le développement personnel qui peut être encore plus intéressante.

Imaginez que vous êtes en proie à une dispute vraiment violente avec quelqu’un que vous aimez.

Ça a commencé par un désaccord mineur comme c'est souvent le cas dans ce genre de circonstances, des cheveux laissés dans le lavabo par exemple, puis les mots brusques et les insultes se mettent à voler pendant que chacun se démène pour défendre sa position.

À ce stade, il est hautement improbable que l'un d'entre vous pense : « En fait, je préférerais être aimé plutôt que d’avoir raison ». Vous êtes tous deux occupés à vouloir « gagner » dans la situation.

Tout à coup le téléphone sonne et vous vous arrêtez tous les deux dans vos rages respectives et regardez le téléphone (votre état a été brisé).
Vous décrochez le téléphone et répondez prudemment, « Allo ? »

C'est un très bon ami dont vous n'avez pas entendu parler depuis longtemps et vous voulez vraiment avoir un maximum de nouvelles de sa part.

 

Qu’avez-vous fait ?

Je vais vous dire ce que vous avez fait : maintenant votre état a été brisé, vous êtes désormais libre de choisir un nouvel état plus approprié, alors vous le faites.

À cet instant, vous traversez un changement d'état si rapide et si transformationnel qu'un ethnologue Alien en pleine recherche sur les comportements humains en perdrait son latin (oui, bien sûr, comme tous les ethnologues, il parle latin).

En entendant l'autre voix, toute l'angoisse, l'agacement et l'amertume s'évaporent comme par magie.

Vous êtes juste passé de fâché, à prudent, puis à heureux en à peu près 2 secondes.

Qui a provoqué ça ?
Qui a décidé que vous alliez vous sentir mieux ?
Qui a mis cette intonation dans votre voix avec autant de facilité et de rapidité ?

Aussi étonnant que cela paraisse, ce n'était pas la Police de la Pensée et ce n'était pas vraiment magique, c'était simplement vous-même.

Vous avez décidé que vous ne vouliez plus vous sentir en colère et que l'autre personne n’avait pas à assister à votre prise de tête.

Vous avez fait un choix de la même manière que vous avez fait un choix pour déclencher la dispute de départ.

C'est incroyable, le fait que vous puissiez changer d'humeur en une fraction de seconde si vous le voulez vraiment ?

Alors, de quelle utilité ce post pourrait-il être ? Je me le demande…

En fait, de nombreuses personnes utilisent déjà l’état de rupture de façon instinctive quand une dispute s’annonce et qu’elles se dépêchent de changer de sujet en posant une question qui oblige l’autre à réfléchir pour répondre.

Pensez-y. Quand une situation désagréable pointe le bout de son nez, plutôt que d’y faire écho sachant que, mis à part un défoulement néfaste, rien de bon n’en sortira, utilisez l’état de rupture pour revenir à l’unité. Cela peut éviter bien des déconvenues.

 

Avez-vous déjà eu envie d'effectuer un changement dans votre vie ? Surpoids, difficultés à vous épanouir dans votre travail, habitudes aliénantes, etc. Vous savez, comme ces résolutions que vous prenez à chaque début d'année.

Par exemple : aller à la salle de gym faire de l’exercice 4 ou 5 fois par semaine, trouvez un meilleur boulot, voyagez loin ou avoir de meilleures relations avec un ami, un collègue ou un membre de votre famille ?

Tous ces types de changements sont louables et positifs, mais pour une raison étrange, lorsque nous décidons de procéder à des changements, nous pensons que nous devons le faire de manière RADICALE.

 

Le changement, ce n’est pas forcément tout ou rien

Nous nous disons que le seul moyen d’avoir la dose dont nous avons besoin est de nous lever à 5h30, de faire de l'exercice pendant une heure, avant de nous préparer pour aller au travail.

Bizarrement, le fait que nous aimions rester au lit jusqu'au dernier moment possible, en appuyant quasi automatiquement, dans un état de semi coma, sur le bouton de répétition de la sonnerie, ne fait pas partie de notre plan.

Vous avez probablement lu ces articles qui disent que la plupart des résolutions du Nouvel An échouent parce que nous ne pouvons pas les maintenir assez longtemps pour qu’elles deviennent une partie de notre comportement normal.

Aussi, lorsque vous ne parvenez pas à créer cette nouvelle habitude d’exercice matinal, comment vous sentez-vous ?

Vous vous dites que vous êtes paresseux ou peut-être même un raté ?

Félicitations, votre cerveau fonctionne correctement !

Quand nous sentons que nos vies ne sont pas ce que nous voudrions qu’elles soient, il arrive que, plein de courage, nous décidions d’y apporter de grands changements, trop souvent en vain.

 

Pourquoi essayer si nous sommes voués à l'échec ?

Alors, pourquoi essayons-nous de faire de grands changements dans nos vies, si les résultats ne sont pas au rendez-vous et que cela nous mène plus à la déprime qu’autre chose ? Parce que, pour une raison inconnue, nous avons été amenés à croire que pour qu’un changement vaille la peine d’être opéré, il doit nécessairement être ambitieux.

Avez-vous déjà réalisé un changement important dans votre vie, un changement que vous ayez choisi et non un qui vous ait été imposé (genre licenciement ou divorce) ? Prenez un moment et repensez à l’un de ces changements.

Vous avez peut-être déménagé dans une autre région ou changé d’emploi ou de secteur d'activité. Des changements positifs, non ?

Mais de quoi d’autre ce changement a-t-il été assorti ? De peur, d’anxiété, d’excitation, de fatigue (mentale et physique), peut-être d’un sentiment d’exaltation et d’un sentiment d’isolement. Autant de réactions typiques en cas de changements majeurs.

Les grands changements peuvent être passionnants et ils peuvent aussi être épuisant.

 

L'évolution du cerveau

Notre cerveau s’est développé sur une longue période, chacune de ses grandes parties ayant évolué entre 100 millions et 200 millions d’années.

Le tronc cérébral ou cerveau reptilien a environ 500 millions d'années. C’est la partie de votre cerveau qui régit le fonctionnement de base. Vous n’avez donc pas besoin de penser consciemment à ce que votre cœur continue de battre ni à ce que vos poumons se dilatent et se contractent.

Le rhombencéphale ou paléomammifère a environ 300 millions d'années. Cette partie de votre cerveau est l'endroit où résident vos émotions et où se trouve l'amygdale.

L'amygdale est la partie de votre cerveau (en fait, il y en a deux en réalité) qui réagit à toute menace réelle ou perçue et provoque une réaction de combat, de fuite ou de paralysie corporelle.
Le cortex est la troisième partie du cerveau. Il s’est développé il y a environ 100 millions d'années. Enveloppant le reste du cerveau, il est responsable des processus de la pensée rationnelle et de la création d’idées nouvelles.

Notre cerveau ne ressemble à aucun autre organe de notre corps. Les autres organes, comme notre peau, notre cœur, notre foie, etc. ont connu un développement fondamentalement stable et cohérent au cours des millénaires.

Parce que les trois parties du cerveau ont évolué à différentes périodes, avec des fonctions différentes, elles peuvent parfois fonctionner de manière contradictoire.

L’amygdale a pour but de signaler toute menace, réelle ou perçue. Imaginez une sirène d’alarme-incendie, un signal puissant incitant à prendre des mesures urgentes pour vous protéger, c’est l’amygdale. C’est votre gendarme inconscient.

L’amygdale est un système de réponse rapide qui déclenche une série de réactions chimiques qui bloquent certaines fonctions corporelles (la digestion, par exemple) et permettent la libération d’adrénaline dans votre système sanguin.

Ces réactions chimiques limitent également le fonctionnement du cortex, la partie rationnelle de notre cerveau et de nos capacités créatrices.

Alors, qu'est-ce que cela a à voir avec les résolutions du Nouvel An et les grands changements que vous demandez ? Les grands changements déclenchent l'amygdale.

La réponse de l'amygdale est instantanée, tandis que le traitement du cortex est un processus plus lent.

 

Le changement est toujours inconfortable

Par conséquent, même lorsque le changement est souhaité (déménagement dans un autre pays, nouvel emploi, etc.), notre corps réagit de la même manière que si nous étions ligotés sur une voie de chemin de fer alors qu'un train approche à toute vitesse.

Malheureusement, lorsque nous vivons ces changements positifs, nous ne sommes pas conscients de ce que notre corps subit.

Nous interprétons la montée d’adrénaline comme le résultat de notre excitation. Cependant, comme nous le savons maintenant, la réponse au stress déclenchée par l’amygdale n’est pas destinée à durer sur de longues périodes.

Si nous sommes conscients de la situation vécue et du fonctionnement de notre cerveau, nous pouvons interrompre le cycle en prenant quelques respirations profondes, permettant ainsi au cortex de se ressaisir.

Si nous ne sommes pas conscients de cette connexion cerveau-corps, nous pouvons nous demander pourquoi nous mettons tant de temps à apprendre le jargon de notre nouvel emploi ou pourquoi nous sommes épuisés à la fin de la journée.

Vous pouvez vous demander : « Pourquoi suis-je si fatigué ? » ou « Pourquoi ne puis-je pas me souvenir de tous les détails ? » Du fait du désaccord entre notre amygdale et notre cortex dans ce type de situation, nous passons à côté d'informations car il est tout simplement plus difficile de se concentrer.

Bon, que faire si vous voulez vraiment perdre 10 kilos ? Tout d’abord, considérez que votre cerveau n’aime pas les grands changements (le rhombencéphale), mais qu’il aime les questions simples et appliquer des solutions créatives (le cortex).

De gros changements déclenchent l'amygdale, alors demandez à votre cortex : « Quel petit changement puis-je faire qui me permettra d'atteindre mon objectif de perdre 10 kilos ? »

C’est peut-être rester debout pendant 5 minutes toutes les heures, ou prendre les escaliers plutôt que l’escalier roulant, ou garer votre voiture aussi loin que possible de l’entrée de votre grande surface, ou encore de descendre une station de métro avant celle à laquelle vous vous arrêtez habituellement pour rentrer chez vous.

 

« Small is beautiful »

Dressez une liste de petites actions que vous pourriez réaliser pour atteindre votre objectif et qui ne déclencheront pas votre amygdale. Commencez petit et augmentez progressivement votre liste. Vous ferez bientôt de l’exercice régulièrement sans avoir à surmonter la réaction naturelle de votre cerveau au changement.

Qu'en est-il de ce nouvel emploi que vous venez de commencer ? Quelles sont les petites étapes qui peuvent vous aider à surmonter la réaction de l'amygdale ? Qu'est-ce qui peut vous aider à libérer de l'énergie et de la créativité lorsque votre cerveau pédale à l’envers ?

Cela peut sembler simpliste, mais une petite étape importante consiste à vous concentrer sur votre respiration. Lorsque nous sommes angoissés (lorsque l'amygdale se déclenche), nous respirons de manière superficielle et incomplète. S’interrompre consciemment pour prendre quelques respirations profondes est la petite étape qui aide à contrecarrer la réaction inconsciente du cerveau aux grands changements.

Une technique de respiration simple consiste à inspirer en comptant 3 ou 4 secondes, à faire une pause de la même durée, à expirer durant 3 ou 4 seconde et à attendre toujours la même durée avant de ré-inspirer.

Essayez cette technique de respiration « en carré » à la maison pour vous entraîner et comprendre comment cela vous fait vous sentir. Intégrez ensuite cette séquence de respiration dans votre journée, en particulier avant d’entrer en réunion, de faire une présentation ou de vous sentir fatigué.

Par pitié, ne me comprenez pas mal : je ne suggère à aucun moment que vous ne devriez pas effectuer de changements dans votre vie. Acceptez ce nouvel emploi, changez de région, commencez à faire de l'exercice ou acceptez cette promotion.

Nous n'avons qu'une seule vie, alors effectuez tous les changements que vous souhaitez expérimenter. Etre conscient du fonctionnement de votre cerveau et créer de petites étapes pour éviter les réactions de combat, de fuite ou de paralysie facilitera ces changements.

Vous serez surpris de la quantité d’énergie dont vous disposerez et de votre créativité naturelle en faisant de petits pas et en respirant consciemment profondément.

Je me sens particulièrement généreux aujourd'hui et je pense qu'il est temps que je récompense les personnes comme vous qui sont assez bonnes et indulgentes pour prendre le temps de lire mon blog.

En tant que tel, je veux vous rendre heureux, alors je vais vous demander, parmi ce qui suit, lequel de ces cadeaux vous aimeriez recevoir de ma part :

Réfléchissez bien, car, une fois que vous aurez décidé, il n'y aura pas de seconde chance.

1) 20 000 € en liquide
2) Une adhésion à vie à votre salle de gym locale avec un coach personnel et l’entrée gratuite à tous les ateliers
3) Une augmentation de salaire de 15%
4) Un crédit illimité chez Louboutin
5) Une croisière autour du monde de 8 semaines
6) Une retraite de méditation de 21 jours dans le pays de votre choix
7) Une promotion professionnelle
8) Un billet de première classe pour n'importe où dans le monde, mais, une fois arrivé sur place, vous vous engagez à pratiquer une activité humanitaire pendant au moins deux semaines.

 

 

Qu'allez-vous choisir ?

C'est dur n'est-ce pas ? Et je suis sûr que vous avez fait un peu de calcul mental pour voir lequel de ces cadeaux a la valeur la plus élevée.

Un abonnement de gym à vie dépend vraiment du coût de votre club de gym et de votre âge. Si vous avez 25 ans et que vous avez l'intention d'y aller pendant 50 ans, cela pourrait être d'une grande valeur.

Encore une fois l’intérêt de l'augmentation de salaire dépend de combien vous gagnez et de son montant. Celui de la croisière dépendra de la compagnie maritime et des ports d'escale.

Et celui de la retraite de méditation ?
Si vous choisissez d'aller au Tibet en première classe, ce sera beaucoup plus cher que d'aller à Maubeuge pour un long week-end - le choix vous appartient.

Une promotion vous fera plaisir, j'imagine. Cela peut même être assorti d’une hausse de salaire, mais avec cela il y aura des responsabilités supplémentaires et peut-être même du stress. Tout cela doit être pris en considération.

Le dernier cadeau n’offre que peu ou pas de récompense financière même si je m'assurerais que tous vos frais de subsistance sont pris en charge comme votre crédit d’habitation et les frais de fonctionnement de la maison.

Cela exigera également beaucoup de travail et peu de gens optent pour ce type de récompense, comparé à un paquet d'argent.

 

 

Lequel augmentera le plus vos niveaux de bonheur ?

Avez-vous déjà une idée ?

Quel est le processus de prise de décision que vous allez prendre en compte ?

Vous êtes-vous demandé : « qu’est-ce qui me rendra le plus heureux ? »

Si non, qu'est-ce qui vous empêche d'adopter une approche aussi fondamentale et efficace ?

Votre objectif numéro un dans la vie n’est-il pas d’être heureux ?

Et si vous avez mené votre réflexion dans ce sens, lequel, selon vous, vous procurerait le plus de bonheur ?

 

 

Vous avez probablement mal compris

À moins que vous ne soyez proche du seuil de pauvreté, les options 1, 2, 3, 4, 5 et 7 auront peu ou pas d'effet sur vos niveaux de bonheur dans quelques semaines ou mois.

L'adaptation hédonique sera faite et vous vous habituerez à vos nouvelles circonstances ou à l'augmentation de votre solde bancaire sans que cela ait le moindre effet sur vos niveaux de bonheur.

50% de votre capacité au bonheur est enfoui au plus profond de votre ADN et rien (pour autant que nous le sachions) ne peut altérer ce fait.

40% de votre bonheur est dicté par votre attitude et votre façon de voir la vie.

10% est dicté par des stimuli extérieurs tels que votre travail, combien d'argent vous avez, votre santé (assez étonnamment), vos relations (y compris votre famille) et même la météo.

 

 

La réponse aurait dû être

La dernière proposition est probablement celle que choisiraient le moins de gens, mais paradoxalement, c'est celle qui vous rendrait le plus heureux à long terme.

Redonner est l'un des meilleurs signes avant-coureurs de niveaux de bonheur améliorés.

L'efficacité de l’exercice a été prouvé pour augmenter l'estime de soi chez certaines personnes et pour donner un sentiment général de bien-être. Il a été également lié à l'amélioration du bonheur et aussi à une réduction de la dépression.

Par ailleurs, il est prouvé que la méditation améliore la santé mentale et physique, augmente la fonction cognitive, réduit le stress et améliore les niveaux de bonheur.

N'importe laquelle de ces deux possibilités aurait donc un plus grand impact sur votre vie à long terme que toutes les autres, mais nombreux sont ceux qui ont du mal à dépasser l'aspect purement matériel ou une progression exprimée en termes de statut social.

Alors, réfléchissez à vos options, et, plus important encore, si votre choix n'était pas la méditation ou le voyage humanitaire, est-ce que vous pourriez changer d’avis ?

 

 

Dans la vie, il y a des moments où l’on ressent un sentiment de déprime ou on peut avoir l’impression de ne plus savoir quoi faire.

La première chose à comprendre est qu’il ne faut jamais prendre de décision alors que l’on se sent déprimé, stressé ou bloqué.

Vous êtes peut-être bloqué dans la vie, les affaires ou dans n’importe quelle situation dans laquelle vous vous trouviez, mais souvenez-vous (nous ne parlons pas de dépression grave), il existe toujours un moyen de vous sentir mieux, si la volonté est là.

 

 

1. Appeler un ami

C’est la raison pour laquelle nous avons des amis : être là pour nous lorsque nous en avons le plus besoin. Vous ne devez rien traverser tout seul.

Acceptez de l'aide ! 99,9% du temps, vous ne pouvez pas envisager seul toutes les possibilités. C’est pourquoi parler à une personne en qui vous avez confiance peut vous faire découvrir de nouvelles façons de considérer votre situation et peut-être même vous rendre compte que ce n’est pas aussi grave que vous ne le pensiez.

 

 

2. Faire une promenade

Certaines études démontrent que la marche régulière aide à traiter une dépression légère à modérée, mais il n’est pas nécessaire d’être déprimée pour marcher ou pour en tirer bénéfice.

Si cela peut aider en cas de dépression légère, cela peut également vous aider lorsque vous vous sentez bloqué et que vous ne savez pas comment vous sortir d’une situation.

C’est très important d’être dans la nature ou dans un endroit aussi tranquille que possible.

Prenez un moment pour entendre les sons autour de vous (qu’ils proviennent d'oiseaux ou d'arbres), soyez dans le moment présent et profitez-en. Tout le reste peut attendre.

Quelque chose de magique se produit lorsque vous vous connectez à la nature, vous régénérez vos énergies et vous restaurez votre niveau vibratoire.

Et croyez-moi, le monde ne s'arrêtera pas en votre absence.

 

 

3. Notez tout ce qui vous traverse l’esprit

Donc, votre meilleur ami ne peut pas répondre au téléphone et votre femme est occupée au travail, que faites-vous ? Eh bien, vous pouvez commencer par écrire.

Prenez une feuille de papier vierge et notez tout ce qui vous passe par la tête, sans ordre particulier. Sortez-les simplement de votre tête pour vous sentir plus léger et réfléchir à votre situation.

L'écriture a un côté thérapeutique que différentes études ont prouvé.

Ecrire à propos d'un bouleversement émotionnel 15 à 20 minutes par jour pendant quatre jours consécutifs a eu pour effet que beaucoup ont vu leur système immunitaire se renforcer, ont été en mesure de mieux accepter les événements et se sont sentis beaucoup plus légers.

 

 

4. Exercice « Soyez, faites et ayez »

Cet exercice vous permettra de passer de ce que vous ne voulez pas à ce que vous voulez vraiment.

Cela peut sembler un peu difficile au début, mais persévérez et trouvez au moins 10 choses pour chaque catégorie.

Comment faire cet exercice ?

Écrivez tout ce que vous ÊTES, FAITES ou AVEZ en considérant que l'argent n’est pas un problème pour vous. Faites l’exercice comme si vous pouviez avoir tout l'argent du monde ou si vous ne pouviez pas échouer.

 

 

5. Écouter de la musique qui vous touche

Avoir une « playlist » de musique que vous appréciez vraiment, qui vous motive et vous fait vous sentir fort, est une chose importante. Ce n’est un secret pour personne que la musique peut nous faire sentir certaines émotions en nous basant principalement sur les souvenirs qui s’y rapportent. Alors choisissez-la avec précaution, car elle peut également vous mettre dans une ambiance triste / déprimante.
Dans la foulée, essayez de danser sur cette musique. Ne cherchez pas à être particulièrement gracieux, mais simplement à exprimer corporellement ce que vous avez envie sur le moment.

 

 

6. Aider quelqu'un d'autre

La gentillesse est l’une des choses les plus pures de la planète Terre et peut instantanément booster votre énergie.

Pourquoi ?

Parce que vous ne vous concentrez plus sur vous-même, et en vous concentrant sur quelqu'un d'autre, cela vous fait oublier votre situation et, souvent, lorsque vous vous en souviendrez, vous la considèrerez moins négativement car vous vivrez à une fréquence différente.

La gentillesse vous fait entrer dans un cercle vertueux qui pourrait même transformer toute votre situation !

 

 

7. Regarder ou écouter quelque chose qui vous fait rire

Je ne vous apprends rien, mais rappelez-vous qu’un bon rire peut être le meilleur remède et la chose la plus sage que vous puissiez faire si vous vous sentez bloqué.

Ayez votre propre liste de films comiques ou simplement de courtes vidéos Youtube qui vous feront rire à tout moment de la journée.

 

 

Conclusion

Personne n'aime se sentir déprimé, mais cela se produit parfois et nous devons simplement apprendre à mieux gérer ces moments pour ne pas les laisser envahir notre univers. Cela nécessite un petit effort au départ, mais le jeu en vaut la chandelle.

 

 

Vous êtes submergé par la charge du quotidien, dans votre famille, dans votre travail, et vous vous posez la question de savoir si et comment cela peut s’alléger, redevenir supportable ?

 

Détendez-vous, ce n’est simplement pas la bonne question que vous vous posez.

 

Si la vie vous semble si pesante, c’est vraisemblablement qu’il vous faut l’aborder par un biais différent.

 

Pour cela vous pouvez consulter un coach de vie, et vous pouvez également commencer le travail de votre côté en vous posant les bonnes questions.

 

En voici sept qui peuvent orienter positivement votre perception de la vie et, ainsi, améliorer votre qualité de vie.

 

 

1 . À quoi ressemblerait ma vie si j’étais bienveillant avec moi-même ?

 

Il y a une très forte probabilité pour que vous vous astreigniez à beaucoup de choses, car malheureusement, de nombreuses personnes adoptent cette approche.

 

Si vous en faites partie, sachez que c’est simplement une stratégie d’adaptation que vous avez apprise, car vous pensez que cela vous évite d’être paresseux et improductif.

 

Malheureusement, cela ne fonctionne que rarement et, dans les rares cas où cela peut aider, la conséquence en est souvent de réduire votre estime de soi et de vous laisser complètement vidé.

 

Imaginez que vous êtes programmeur informatique et que vous travaillez sur un nouveau code pour résoudre un problème.

 

Vous essayez le nouveau code et il ne fonctionne pas comme prévu. Relanceriez-vous simplement le même code une seconde fois en espérant que, finalement, il fonctionne, sans n’y avoir rien changé ?

 

Bien sûr que non, ce serait évidemment une perte de temps ridicule.

 

Donc, n’est-il pas temps d’écrire un tout nouveau code pour votre propre esprit ?

 

Essayez de vous offrir de la bonté et de la compassion pendant seulement deux semaines, de la même manière que si vous l'offriez à un être cher. Vous serez surpris des résultats.

 

 

 

2 . Que me dit mon instinct ?

 

Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent encore, utiliser votre instinct (ou votre intuition si vous préférez) n’est pas une façon incohérente de prendre des décisions, ni un jeu de pile ou face. Il s’agit simplement d’utiliser la cognition rapide.

 

L’instinct provient de votre inconscient, hautement évolué, incroyablement efficace et exponentiellement plus puissant que votre esprit conscient.

 

Comparez une calculatrice de poche de 1975 au super-ordinateur actuel le plus rapide au monde et vous aurez une idée de la différence de puissance.

 

Le problème, c’est que votre inconscient communique avec des sentiments plutôt qu’avec le langage et, de ce fait, ces derniers n’ont parfois pas beaucoup de sens pour la partie consciente analytique de votre cerveau.

 

En tant que tel, vous pouvez les rejeter et regretter votre décision ultérieurement. Je parie, d’ailleurs, que ça vous est déjà arrivé, non ?

 

Ce sentiment était votre instinct qui vous « parlait » et faisait de son mieux pour vous aider. Il n’aura pas toujours raison, mais bien plus souvent qu’il n’aura tort. Ignorer le à vos risques et périls.

 

 

 

3 . Cela correspond-il à mes valeurs fondamentales ?

 

Avez-vous déjà occupé un poste dans une grande entreprise peu scrupuleuse, à but lucratif, qui vous faisait vous sentir mal, mais payait bien ? Avoir induit en erreur un ami ou un collègue et se sentir mal après ? Ou peut-être même avoir développé des arguments futiles pour vous justifier et vous être senti mal à l’aise et irrité de le faire ?

 

C’est parce que vous n’êtes pas en harmonie avec vos valeurs et que vous avez créé un conflit interne.

 

Dans les cas ci-dessus, vous avez peut-être « intégrité », « honnêteté » et « harmonie » très haut dans votre liste de valeurs et vous les avez négligées.

 

Lorsque vous faites quelque chose qui ne correspond pas à vos valeurs personnelles, vous vous sentez mal. Vous ne savez peut-être pas nécessairement pourquoi vous vous sentez mal, mais c’est ainsi.

 

Lorsque vous prenez des décisions, importantes ou non, avant de commencer à analyser les choses à outrance, écoutez l’instinct dont nous avons parlé plus haut, car votre intuition est toujours conforme à vos valeurs.

 

 

 

4 . Que puis-je apprendre de cette épreuve ?

 

Pour moi, les épreuves sont les compliments que nous adressent la vie. La vie ne nous envoyant que les épreuves que nous sommes capables de surmonter, subir d’importantes épreuves signifie que nous avons la dimension suffisante pour les surmonter.

 

La rudesse de l’épreuve est la preuve flagrante de notre valeur intrinsèque. Et, pour moi, si on considère les choses ainsi, il y a du bonheur (voire de la fierté) à en retirer.

 

Si vous pouvez apprendre quelque chose d'un événement négatif et utiliser cet apprentissage à bon escient, vous pourrez voir en quoi l’expérience était utile et nécessaire, au lieu de vous en affliger.

 

Il y a très peu de situations négatives que la vie vous envoie et qui ne nous apprennent pas quelque chose d’important, pour peu qu’on accepte d’en rechercher le sens.

 

 

 

5 . Qu'est-ce que cela peut signifier d’autre ?

 

Le type qui vous fait une queue de poisson est peut-être en train d'essayer de vous tuer intentionnellement, ou peut-être vient-il d'apprendre une mauvaise nouvelle, est pris de panique et se précipite pour rentrer chez lui.

 

La femme qui vous croise dans le couloir, qui ignore votre sourire et votre bonjour amical peut-être méprisante, ou peut-être est-elle tellement perdue dans ses pensées qu'elle ne vous a même pas vue.

 

Je ne sais pas pour vous, mais j’ai assez de difficulté à comprendre ce qui se passe dans ma tête sans essayer d’imaginer ce que les autres pensent et leurs motivations. Surtout quand il y a autant de risque de me tromper que de voir juste.

 

Avant de vous précipiter pour juger les autres ou d’avoir de mauvais sentiments vis à vis d'une autre personne, demandez-vous si la situation ne pourrait pas avoir une autre signification ?

 

Même si quelqu'un vous insulte, vous pouvez toujours choisir de vous poser la question, puis de vous répondre : « Cela signifie probablement qu'il a eu une jeunesse difficile où ce genre de comportement était considéré comme acceptable. Ça a vraiment dû être dur pour ce pauvre type ».

 

 

 

6 . Qui pourrait m'aider à atteindre cet objectif ?

 

Lorsque que l’on fixe des objectifs trop ambitieux, on panique, on se demande souvent comment on va bien pouvoir réaliser tout ça, et on se laisse gagner par le stress négatif.

 

Peu importe ce que vous voulez atteindre, il y a presque certainement des gens qui l'ont déjà fait, et même si c'est quelque chose de vraiment unique, il y aura des éléments de comparaison avec d'autres.

 

Trouvez qui sont ces autres et demandez-leur conseil (vous seriez surpris de voir combien de personnes aiment aider quand on leur demande gentiment), ou dans le pire des cas, lisez ce que vous trouverez sur eux ou regardez-les faire.

 

Le succès laisse des traces, alors plutôt que d'essayer de tout faire vous-même et de vouloir réinventer l’eau tiède, suivez la piste de ceux qui ont eu la bonté de la tracer.

 

 

 

7 . Si « X » n’était pas un problème, serais-je en mesure de réaliser mon objectif ?

 

Il existe une technique de vente classique appelée « isoler l’objection » et je l’utilise beaucoup avec mes clients en coaching de vie. En posant cette question, vous vous demandez quelle est la véritable raison pour laquelle vous ne faites pas les progrès souhaités dans un domaine donné.

 

« X » sera souvent l’argent, mais il peut aussi s'agir d’une foule d’autres choses telles que les qualifications, l’âge, le poids, le temps, etc.

 

Par exemple, vous pouvez régulièrement vous dire des choses telles que :

Si j'avais plus d'argent, je pourrais le faire.

Si j'avais un diplôme, je pourrais postuler à cet emploi.

Si j’avais plus de temps, je tenterais ça.

 

Lorsque vous avez ce genre de réflexion, vous devriez vous poser une question qui vous aidera à isoler l’objection.

 

Si l’argent n’était pas un problème, le ferais-je ?

Si je n'avais pas besoin d'un diplôme, est-ce que je postulerais vraiment ?

Si je pouvais créer du temps, le ferais-je vraiment ?

 

Si la réponse est « non », alors votre objection était fausse et il faut encore creuser. D’un autre côté, si la réponse est « oui », vous savez maintenant sur quoi vous concentrer et ce qu’il faut traiter en priorité.

 

Toutes ces questions sont bien et peuvent vous aider à améliorer votre qualité de vie, sous réserve que vous les utilisiez, alors n’hésitez pas, utilisez-les maintenant !

 

 

 

P.S. : ne me demandez pas pourquoi j’ai choisis cette photo pour illustrer l’article, je n’en sais rien, si ce n’est le geste de la main droite du personnage principal qui m’a éclaté…

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